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LE BONHEUR, le respirer pleinement ne dépend que de soi !
LE BONHEUR, le respirer pleinement ne dépend que de soi!
« La véritable équité c’est le bonheur. Il ne dépend pas d’un statut social. Il dépend de votre état d’esprit. » Stéphane Owona
Il n'y pas vraiment de définition précise du bonheur.
Il est généralement décrit comme un état de plénitude et de sérénité dépourvu de stress, d’angoisses, de peurs et de souffrances
La définition semblait tout autre il y a fort longtemps de cela, pour être heureux il fallait remplir les trois besoins fondamentaux à savoir, la faim, la soif et le froid.
Aussi, chacun aura sa propre vision et lui donnera un sens au regard de sa propre vie de ses propres expériences (éducation, croyances, perception de sa réalité et de son environnement). C’est en cela qu’il me parait évident que la source du bonheur se situe en chacun de nous.
Et pourtant, parfois, il arrive que, faute de le trouver, on puisse se projeter une vision du bonheur par envie de ce que nous percevons être le bonheur vécu par les autres. Est-ce judicieux d’envier les autres ?
On peut souvent lui prêter un sens conditionné à des attentes matérielles recherchant de la satisfaction temporaire. Dès lors, on pourrait penser que ce qui nous est extérieur contribue à son atteinte globale.
De même, la difficulté de le ressentir est majeure car notre vision évolue en même temps que nous.
Et dès lors, chacun sera en quête de sens, en quête du chemin pour atteindre ce fameux bonheur tant attendu.
Mais quelle est la bonne direction donc puisque tout fluctue, tout est en mouvement ?
Et de ce fait, la question se pose également de savoir si le bonheur peut être durable…
Alors comment faire ?
Chacun a la possibilité de percevoir la vie de deux façons, positive ou négative.
Ainsi, la responsabilité de cette perception revient à chacun.
Prendre conscience que le moment présent est un cadeau.
Faire la paix avec son passé.
Le passé peut être un frein, rassemblant beaucoup de souffrances, ce qui nous empêche d’être en paix dans l’instant présent.
Il convient de défaire tous les nœuds sans en ressentir remords ou regrets. Si l’on vit avec les fantômes de son passé, on ne peut ETRE pleinement dans son présent et cela est contraire au bonheur.
C’est ainsi que pour être heureux, il faut d’abord être en paix avec son passé, dépasser ce qui a pu être douloureux, pardonner si cela est nécessaire.
La clé pour moi reste la communication ou le soulagement de ce qui nous pèse.
Cela peut être par le biais de l’écriture donc, on écrit ,ce qui nous permet d’extérioriser nos émotions et nos ressentis et on peut brûler la lettre en émettant l’intention de faire la paix avec ce passé qui nous ronge.
Je pense que le bonheur nécessite un grand ménage intérieur et extérieur
Se comprendre, être lucide sur soi-même, s’accepter tel que l’on est avec indulgence et bienveillance, vaincre ses peurs, dépasser son passé, être pleinement en accord avec ses valeurs, ses envies, ses ressentis, son cœur, prendre soin de soi en étant attentif à ses besoins.
Il est également important d’être en harmonie avec son entourage, de se débarrasser des relations qui nous semblent toxiques, considérer les bons moments, se satisfaire de ce que l’on a avec gratitude, …
Il faut aller à la rencontre de son bonheur et non attendre qu’il nous atteigne ; se sentir dans le mouvement de la vie avec optimisme, gaieté, joie et responsabilité sur ce que l’on vit sans s’en sentir prisonnier et victime car nous sommes tous maîtres de notre vie.
Il nous faut arriver à dompter nos pensées car nos pensées étant créatrices, nous finissons par devenir ce qu’elles nous manifestent.
Le bonheur se cultive chaque jour et pour qu’il soit durable tout dépendra de son état d’esprit.
Pour conclure, je vous laisse méditer sur cette question, est-ce que vous faites quelque chose au quotidien pour que votre vie s’améliore et pour que vous soyez heureux ?
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